INRS

INRS_logo_specifique_renverse_blanc
Hermine Counil
Hermine Counil

Étudiante au doctorat en biologie et passionnée d’équitation

Originaire de France, Hermine a choisi de venir au Canada faire son doctorat au Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie dans le laboratoire du professeur Charles Ramassamy. Le sujet de son projet touche au développement de la maladie d’Alzheimer, une maladie du cerveau qui se caractérise par un déclin progressif et irrémédiable du fonctionnement cognitif.

Le parcours d'Hermine

D’aussi loin qu’elle se souvienne, Hermine a toujours été fascinée par les animaux, mais également par la compréhension du fonctionnement du vivant. De nature curieuse, la jeune scientifique a grandi à la campagne. Possédant son propre cheval, elle a développé une véritable passion pour l’équitation et le monde équestre. Comme bien d’autres enfants, elle souhaitait exercer le métier de vétérinaire et prendre soin de bêtes qu’elle aimait profondément.

Progressivement, son parcours l’a conduite à vouloir en apprendre un peu plus sur l’apparition des pathologies, le développement des maladies, leurs causes et leurs effets. Elle a donc opté pour un baccalauréat en biologie cellulaire et physiologique pour en apprendre plus sur le fonctionnement des organismes vivants (animal, végétal ou microorganisme); elle est littéralement tombée en amour avec les neurosciences. Cette nouvelle passion l’a amenée à poursuivre ses études aux 2e et 3e cycles et à approfondir ses connaissances de l’étude fondamentale et clinique de cette matière et de la biologie du vieillissement.

C’est durant un premier stage de Master dans un laboratoire en France qu’elle a commencé à découvrir certains mécanismes sous-jacents au développement de la maladie d’Alzheimer. Cette expérience de travail en laboratoire a eu l’effet d’un déclic pour Hermine. Elle a tout de suite su qu’elle souhaitait orienter la suite de son parcours sur l’étude des facteurs de développement de cette maladie. Dans le laboratoire du professeur Charles Ramassamy à l’INRS, elle trouve exactement les ressources qu’il lui faut pour réaliser son doctorat.

Des passions plein la tête

À l’INRS, sa fascination pour le cerveau humain l’occupe à temps plein. Mais, loin de sa maison familiale et de la proximité des chevaux, Hermine a développé diverses passions pour dépenser son énergie et décrocher du quotidien. Ayant la fibre artistique, elle peint et dessine dès qu’elle le peut.

Entre deux séances de laboratoire, elle fait de la randonnée, de la course à pied ou du yoga. Elle pratique également le kickboxing. Elle aime se dépenser avec ce sport et souhaiterait, comme lors d’un combat, arriver à mieux comprendre la maladie d’Alzheimer pour… la mettre K.O. En attendant, elle poursuit ses recherches!

Les études d’Hermine lui apportent de grandes connaissances dans son domaine de recherche, mais cette dernière souhaite également partager son savoir. Elle participe donc à des initiatives de vulgarisation scientifique. Le projet Apprentis chercheurs, offert à l’INRS pour une clientèle de 14 à 17 ans, en est un exemple.

Hermine Ciounil

Le PLUS qu'apporte l'INRS aux yeux d'Hermine

Hermine Counil
Une université multidisciplinaire

Pour elle, l’INRS se démarque parce que c’est une université multidisciplinaire. Cela lui permet d’élargir ses connaissances scientifiques et de multiplier les occasions d’apprendre de nouvelles techniques perfectionnées, auprès de chercheuses et de chercheurs d’horizons différents. 

Une solidarité remarquable

Hermine souligne aussi l’entraide entre les étudiantes et étudiants. Autour d’elle, elle remarque une forte solidarité au sein de la communauté, et ce, dans les divers laboratoires. Cet aspect est très important et significatif, puisque le milieu de la recherche peut être très compétitif. Un climat d’entraide permet d’alléger les difficultés qu’on peut rencontrer dans son parcours de maîtrise ou de doctorat!